Mon jockstrap de soumis GAY

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il y a 8 ans

Mon jockstrap de soumis GAY

J’ai 25 ans, et depuis que je me suis rendu compte que sans être féminin, il existait beaucoup d’hommes plus musclés que moi, j’ai toujours été soumis. Je ne suis pas du genre à bouffer de la m e r d e ou à aimer être tabassé, mais j’aime être humilié, rabaissé par mon maître. J’aime que mon maître me rappelle qu’il est le véritable homme de notre couple, qu’il a une vie, un travail, des passions, alors que le seul but de mon existence est de répondre à toutes ses exigences quelles qu’elles soient. J’aime savoir qu’un homme contrôle tout ce que je fais, tout ce que je peux faire. Et j’aime par-dessus tout que cet homme le sache. Qu’il sache que je me plierais à chacun de ses désirs, que quoi qu’il me dise de faire, je le ferai sans même perdre le temps de dire oui, pas parce que je me f o r c e mais parce que je le veux, parce que j’en ai besoin. J’ai besoin de savoir que si je me comporte bien comme il faut, mon maître me laissera toucher, peut-être même lécher son sexe. Que dans sa grande bonté il acceptera d’arroser mon visage et mes lèvres entrouvertes de son foutre si chaud et savoureux. Je ne vis qu’en espérant qu’il veuille bien me fouiller le cul de ses doigts puissants après les avoir enfoncés dans ma gorge pour les humidifier ou qu’il m’autorise à saliver sur ses pieds suintants ou à m’empaler sur son sexe épais.

Mon maître le sait, et il se fait une joie de profiter de moi. Je suis son jouet sexuel, son pantin qu’il contrôle sans pitié, son ensemble de trous qu’il pilonne abondamment. Je suis un soumis comblé. Et à vrai dire, je le suis encore plus aujourd’hui.

Car aujourd’hui, c’est mon anniversaire, et mon maître ne l’a pas oublié. Il m’a même ramené un cadeau. L’emballage est dans sa main, et avant de me le donner, il prend un malin plaisir à voir mon impatience à l’ouvrir. Qu’est-ce que ça peut bien être ? Le paquet n’est pas très grand, serait-ce un nouveau plug ? Non, le papier est beaucoup trop froissé, mon maître sait emballer une boîte. Serait-ce un tissu alors ? Des chaussettes qu’il aurait portées plusieurs jours ? Un slip dans lequel il aurait joui et peut-être uriné, lorsque loin de moi ? Je me régale d’avance !

_ Alors ma salope, tu veux savoir ce que c’est ?

_ Oh oui Maître, s’il-vous-plaît, je peux l’ouvrir ?

Mon maître sourit. Je suis bien assis à ses pieds, complètement nu comme à l’accoutumée. Il passe une main dans mes cheveux blonds, que j’ai nettoyés le matin même lorsque j’ai appris sa venue.

_ C’est bien parce que c’est ton anniv hein ? Allez, déballe-le, j’espère que ça te plaira.

Mon maître me tend le paquet, je l’ouvre comme un sauvage, déchirant le papier cadeau en dizaines de bouts. Et ce que j’en sors me ravit. Je n’avais pas eu tort, c’est bien du tissu. Il s’agit d’un sous-vêtement, rouge vif. Un jockstrap. Mon tout premier jockstrap. Je ne peux pas m’empêcher de sourire.

_ Et bien, je vois que ça te plaît ma pute d’amour. Je me suis dit, 25 ans, c’est pas rien, ça se fête ! Alors pour l’occasion, je t’emmène au restaurant ! Arrête de crier ma puce, oui tu vas voir tu vas aimer l’endroit. C’est très élégant, que du beau monde. Et au milieu de ce beau monde, toi, avec ce magnifique petit jockstrap sous ton pantalon. Grâce à ça, je n’aurai aucune difficulté à venir mettre un doigt entre tes fesses pour voir si ton plug est bien en place.

Rien qu’à l’idée d’être en jock en plein milieu d’un restaurant, entouré de personnes ne se doutant de rien, pendant que mon maître me domine subtilement, je commençais à bander et à mouiller, aussi bien de la bite que du cul.

_ Merci, merci beaucoup Maître ! Je peux l’essayer Maître ?

_ Va te relaver avant, je vois que ta bite commence à mouiller, et il est hors de question que tu le taches maintenant. Tu enfonceras ton plug devant moi ok ?

_ Oui Maître, merci beaucoup.

Exalté et pressé de sortir dans la rue presque nu et complètement accessible à mon maître, je courais dans la salle de bain pour faire ma seconde toilette de la journée.


Nous marchons tous les deux dans la rue. J'ai fini ma toilette en à peine 1/2h. Je ne pense pas avoir jamais été aussi rapide auparavant, mais l'envie d'essayer ce nouvel accessoire m'a donné des ailes. Je n'ai pas négligé mon hygiène pour autant. Mon maître n'aime pas me trouver sale, et j'aime trop plaire à mon maître pour zapper des étapes essentielles de ma douche. Après avoir vérifié mon épilation (je déteste tout autant, voire plus, que mon maître, avoir des poils qui pourraient gêner l'accès à mon trou. J'aime être pris dans toutes les positions, avec ou sans préparation, et si l'homme qui me baise perd du temps à écarter les poils de ma raie, c'est moins de temps qu'il passera à me lécher, doigter ou pénétrer le cul), j'ai effectué un lavement. J'ai passé du déo senteur Jasmin sous mes bras et un peu sur mon trou. Ensuite, je me suis lentement revêtu de mon nouveau jockstrap, savourant son contact soyeux le long de mes pieds, mollets et cuisses, avant qu'il n'atteigne divinement mon pénis, et que les deux élastiques arrière se referme sur mes fesses. Pour moi, ce sous-vêtement était la meilleure preuve que je pouvais apporter à mon maître qu je lui étais complètement et sans limite aucune offert.

De retour dans le salon, frais et sec, j'ai montré son récent cadeau porté à mon maître. Il m'a fait me tourner, pencher, onduler... Pendant plus de cinq minutes, mon maître m'a regardé sans me toucher. A voir ses yeux qui brillaient et l'énorme bosse dans son pantalon, il aimait le résultat. Et j'adorais ça. Il me tendit alors le plug noir qui m'était promis. Il n'était pas très grand ni gros (14cm par 5) mais son but était de prouver ma servitude sexuelle, pas de me défoncer le cul. Mon maître était là pour ça.

_ Maintenant ptite salope, tu vas rentrer ça dans ton ptit cul découvert.

J'ai pris l'objet de soumission, et l'ai entré entier dans ma bouche avide. Je lui ai fait faire quelques allers et retours avant de le bloquer en fond de gorge, et de m'allonger sur le ventre sur le tapis du salon, montrant mon "ptit cul découvert" à mon maître confortablement installé dans le fauteuil. J'ai ramené les cuisses sous mon ventre pour remonter les fesses, et alors que je posais ma tête sur le sol pour relever encore mes fesses et bien montrer que je n'étais qu'une pute, j'ai tiré le plug ruisselant de salive de ma bouche et l'ai approché de mon cul. Lorsque je l'ai senti contre son entrée, et surtout lorsque j'ai commencé à le pousser à l'intérieur, je n'ai pas pu réprimé des gémissements. Ma chatte était super sensible, et le moindre frôlement contre elle me procurait un plaisir indescriptible. Si je rajoutais celui d'être humilié aussi bien par l'habit que je portais, ce que j'étais en train de faire et la position dans laquelle je le faisais, ce plaisir était déjà incontrôlable.

_ Très bien ma salope, maintenant tu fous ton jean taille basse histoire de laisser dépasser le jockstrap, une chemise blanche entrouverte, et on y va.

C'est donc dans ces vêtements que je marchais maintenant dans la rue. Mon maître marchait à côté de moi, sans me tenir la main, sans aucun contact physique. D'ailleurs, quelqu'un d'extérieur à la scène n'aurait jamais pu deviné que nous étions amants. Enfin, jusqu'à ce que soudain, je sentis la main de mon maître sur le bas de mon dos. Instinctivement, je regardais autour de moi. La rue, même si loin d'être bondée, était loin d'être déserte. Six ou sept personnes marchaient dans notre direction sur notre trottoir, et peut-être autant sur le trottoir d'en face. Je ne pouvais pas voir les gens derrière. Aucun e n f a n t et aucune personne âgée. Je me relâchais.

_ C'est moi qui m'occupe de la surveillance petite pute, me dit mon maître. Toi, tu cambres les reins, ouvres ton cul et te prépares à te faire démonter, c'est tout!

J'acquiesçai, rouge de honte. Non pas de me retrouver avec une main sur les fesses, mais d'avoir déçu mon maître.

_ Je suis désolé Maître, je ne voulais pas vous offenser. Vous pourrez me pisser dessus si vous voulez, ou je dormirai à vos pieds, ou...

_ Ta gueule.

Je baissais la tête et continuai à marcher en silence. La main de mon maître se glissa sous ma chemise, puis je la sentis serrer l'une de mes fesses. Fermement au début, puis presque brutalement ensuite. ça commençait même à faire assez mal, mais mon maître me prévint.

_ Si tu pousses le moindre cri je te frappe et te baise ici en pleine rue, c'est compris?

_ Oui maître.

Maintenant, la douleur était telle que la sensation se transformait en sensation de brûlure, de chaleur pas si désagréable. Soudain, après plus de 5 minutes de ce traitement, mon maître relâcha complètement l'emprise de ma fesse et entama un brusque massage sur les zones qu'il venait de blesser, pour raviver la douleur.

_ Alors t'aimes ça hein petite pétasse?

Je réfrénais un cri de plaisir.

_ Oh oui Maître, s'il-vous-plaît faîtes-moi mal!

_ Tu veux que j'te fasse mal? Et qu'est-ce que tu dirais de ça?

C'est alors qu'il entra non pas un mais 2 doigts dans mon trou, autour de mon plug! La sensation me foudroya. La douleur que causait le déchirement de mon cul était compensée par le plaisir que ses doigts me donnaient. Mon maître poussa encore un peu, et d'un coup accélera la cadence à laquelle nous marchions, me poussant dans son élan directement par le cul. Je manquai de tituber mais me repris à la dernière seconde et accélérais le pas également.

_ Tu te rends compte que je te traîne par le cul en pleine rue, comme une chatte en laisse?

_ Mmmm oaamm

Je n'étais même plus capable de faire un mot. A chaque pas, Maître soulevait sa main un peu plus, si bien qu'il me tirait littéralement vers le haut. Même si je tentais de marcher sur la pointe des pieds, bientôt je ne fus pas assez grand pour empêcher ses doigts de rentrer plus profondément tout en poussant le plug dans mon cul.

_ Ta chatte est bien humide pétasse. Moi je marche normalement, et toi tu titubes et sautes comme une pucelle. J'pourrais te renverser comme qui rigole, et même si tu te viandais à mes pieds, t'inquiète, je retirerai pas mes doigts de ton fion. Mais je te ferais bouffer mes pompes, là, en plein milieu de la rue. Putain, tu marches vraiment comme une pute maintenant. J'te pousse avec trop de facilité, j'peux t'faire ce que j'veux. Et rien qu'à voir comment tu cambres ton ptit cul de chienne, je sais que t'adores ça!

Je ne pouvais pas le regarder, j'étais trop concentré sur "ne pas tomber, ne pas tomber" Ces vagues de plaisir qui déferlaient à partir de ses doigts sur les parois de mon cul, alors que le plug tapait en plein sur ma prostate. Décidément, mon maître avait une fois de plus raison. J'adorais ça.

Nous avions fini par atteindre le restaurant. Mon maitre ne m’avait pas menti, il s’agissait d’un endroit tr?s classe, pas du tout le genre d’endroit o? il avait l’habitude de m’emmener. En temps normal, j’aurais été dé?u qu’il ne m’ait pas emmené dans un club. J’aimais me retrouver nu ? ses pieds dans ce type de lieux? reconnaître dans ma soumission toute la f o r c e de mon maitre. Chaque fois que je recevais un coup de poing, de pied ou de bite par un des usagers, je savais qu’il avait d? en demander l’autorisation ? mon ma?tre. C’est lui qui commandait, et plus j’étais chienne et excitante, plus grand était le nombre de personnes voulant me baiser, et donc plus important devenait mon maitre. J’aimais pouvoir mettre mon corps et mes compétences de pute au service de sa réputation. Je n’étais pas grand-chose et donner tout le peu que j’étais – un esclave, une suceuse, une salope servile – pour grandir encore son aura me comblait de bonheur.

Cependant, ce soir, alors que je savais que je ne pourrais pas me soumettre ? d’autres hommes en face de mon maitre dans ce restaurant, je jubilais d’y ?tre. Non pas par anticipation du repas, mais par celle de la situation. L?, dans ce restaurant, au milieu d’hommes et de femmes riches et ignorants, j’allais subir un asservissement bien plus subtil de mon maitre. Je n’allais très certainement me prendre aucune bite dans le cul, je n’allais pas lécher de pieds sales en frétillant ma chatte ouverte, je n’allais pas recevoir les flots de sperme d’étrangers sur le visage et ?a me chagrinait un peu, mais j’allais devoir supporter le regard choqué de gens qui n’étaient pas habitués ? voir un homme se soumettre dans tous ses gestes et pensées ? un autre homme. Les actes seraient bien moins v i o l ents, mais le choix du public les rendait bien plus humiliants.

Sur le trottoir d’en face du restaurant, mon maitre me fit donc m’arrêter. Lentement, il retira ses doigts qu’il avait gardé jusqu’alors dans mon cul, sortit le plug dans le m?me mouvement, et le remit tout doucement, me f o r ç a nt ? gémir de plaisir involontairement. Puis tout aussi doucement, il passa son bras par-dessus mon épaule, me colla latéralement contre lui, et plaça la main dont deux doigts s’étaient divinement enfoncés en moi sur mes lèvres. Instinctivement, je sortais la langue pour lécher cette offrande humide, mais il m’arr?ta.

_ Calme toi mon amour. Sens les bien avant de les lécher. C’est l’odeur de ton propre cul, celui que tu m’as donné, qui m’appartient. Sens ce que tu me donnes.

Je fermai les yeux et inspirai ? fond. Aucune mauvaise odeur n’était présente, j’avais appris ? me laver très correctement l’anus. Au contraire, un léger parfum de jasmin se dégageait des doigts de mon maitre, mêlés ? la chaleur moite que leur séjour entre mes fesses leur avait conférée. C’était délicieux. Je commençais malgré moi ? saliver, et étrangement, je sentis mon cul mouiller encore plus.

_ Maintenant tu peux lécher.

Avide, je sortis ma langue et avalai littéralement les doigts de mon maitre. Il commença ? les enfoncer avec f o r c e entre mes lèvres, dans ma bouche, au fond de ma gorge, tout en gardant un air naturel. Personne ne semblait remarquer ce qui se passait, ou en tout cas, personne n’osait regarder trop longtemps. Manifestement, un homme avait trouvé sa pute, et s’il était assez fort pour dompter un être humain, il valait sûrement mieux ne pas le faire chier…

_ Allez, on y va. Passe devant, et cambre bien ton cul quand tu marches.

Nous entrâmes dans le restaurant. Le serveur nous vit, et instinctivement s’adressa ? mon maître.

_ Vous avez réservé ?

_ Oui, au nom de L…

_ En effet, vous avez une table pour deux personnes ? l’étage, au fond ? gauche. Puis-je prendre votre manteau ?

_ Ce n’est pas la peine, merci.

Nous mont?mes l’escalier, moi toujours devant, profitant des marches pour montrer encore plus mon cul ? Maître, puis nous f?mes nous asseoir ? la table indiquée. Elle n’était pas exactement en plein centre, mais il y avait tout de m?me deux tables occupées ? c?té de nous. A première vue, il s’agissait de trois collègues de bureau ? l’une des tables, et un groupe de quatre amis ?

Il ne se passa rien qui pourrait intéresser un quelconque lecteur avant le dessert. Alors que je m’étais attendu ? être humilié tout au long du repas, Maître me dit juste de profiter de l’instant, et me laissa manger entrée et plat principal sans demander de moi une quelconque forme d’asservissement. Tout changea pour le dessert. Alors que le serveur qui s’occupait de nous ne vint prendre commande du dessert, mon maitre entama une étrange conversation ? trois.

_ Je prendrai une crème brûlée ? la nougatine, dit-il au serveur. Par contre, ma petite chérie ne sait pas ce qui est bon pour elle. D’habitude c’est moi qui décide tout pour elle, mais l? je ne sais pas trop ce qui lui conviendrait. Qu’est-ce que vous me conseillez ?

En deux secondes, le serveur vira rouge écarlate. Et dans le m?me temps, je prenais conscience que ce serveur allait potentiellement devenir important pour l’avenir de mes fesses. Pour la première fois de la soirée, je l’observai. Il était assez grand et mince. Athlétique. Son costume le moulait légèrement, et laissait deviner une nature généreuse au niveau du slip. Rien de vulgaire, et rien de dur, au moins pour l’instant. De visage, il était mignon. En réalité, il était m?me tr?s mignon. Les cheveux bruns, le nez fin, et entre les deux de magnifiques yeux verts. Une mâchoire carrée sans barbe, et, détail intéressant, les sourcils discrètement épilés. Je sais que certains hétérosexuels s’épilent les sourcils, mais la majorité était des homos. Enfin, de toutes manières, nous allions savoir tr?s vite si le serveur acceptait d’entrer dans le jeu de mon maitre ou pas.

_ Je… Je ne sais pas trop, bredouilla le serveur. Qu’est-ce que votre petite… Votre ami aime manger habituellement ? Nous avons une mousse au chocolat très appréciée ici…

_ Non, elle n’aime pas ?a. Je lui interdis tout ce qui est marron, c’est une question d’hygiène. Elle aime beaucoup tout ce qui se suce. Comme des glaces par exemple. Mais elle préfère les grandes. Elle suce trop bien pour les petites. Sa bouche est trop chaude, elles fondent presque instantanément.

Le serveur ne savait manifestement pas o? se mettre. Etait-ce une blague ? Etaient-ils en train de se ficher de moi ? Les questions devaient s’enchaîner dans sa t?te.

_ Ne vous inquiétez pas jeune homme, continuait mon maître. Quoi que vous lui proposiez, elle acceptera. Et il me semble que vous n’avez pas de problème de taille.

Instantanément, je baissai les yeux sur l’entrejambe du serveur. Et l?, surprise, son pantalon se tirait dangereusement ! Et ? voir la taille de la marque qui se formait sous le tissu noir, l’homme était muni d’un pénis énorme. Sans m?me m’en rendre compte je me mettais ? saliver et avançais subrepticement ma main en direction de cet engin.

Mon maître me donna une brusque tape sur la main.

_ Tu fais quoi salope ??

Les gens de la table de derrière nous lancèrent un regard, puis retournèrent dans leur conversation.

_ Excusez-le, reprit Maître en s’adressant au serveur d’un ton plus bas. Vous ?tes manifestement doté d’un matériel imposant, et je vous l’ai dit, cette pute aime sucer. Surtout ce qui est gros. Ne vous inquiétez pas, elle n’a pas les yeux plus gros que le ventre. Si vous acceptez de l’emmener cinq minutes aux toilettes, elle parviendra ? vous prendre complètement en bouche. Et si vous pouvez vous permettre de vous esquiver cinq minutes supplémentaires, vous aurez peut-être m?me le temps de remplir son cul de salope de votre sperme.

Le serveur n’était plus rouge du tout. Il déglutit, et, sans un trémolo dans la voix, dit :

_ Monsieur est trop aimable. Et bien, si Madame veut bien me suivre, je vais lui montrer o? sont les toilettes.

Je me levai aussitôt. Mon maitre attrapa le serveur par le bras au dernier moment.

_ Si vous voulez la taper, évitez juste le visage. Pour le reste, vous pouvez enfoncer profond.

Moins d’une minute plus tard, le serveur fermait la porte des toilettes derrière nous.


Sa première phrase m’électrifia. Le gentil serveur respectueux avait compl?tement disparu.

_ Alors pédale, on aime se faire enculer ?

_ Oui.

Premier coup de poing dans le ventre.

_ On dit oui monsieur ok ?? Ton maitre t’a prêté pour le temps nécessaire, si tu fais pas ce que je te dis, je te déboîte c’est clair ? Nos toilettes sont tr?s bien insonorisées, donc tu peux gueuler salope, personne t’entendra ! Dessape toi vite !

_ Oui monsieur.

T?te baissée, j’ouvris ma chemise, poussai mes chaussures et baissai mon pantalon. Le serveur siffla.

_ Non mais regardez moi cette pute ! Joli strap salope, tourne pour voir ?

Je me retournai. Je sentis la main gauche du serveur attr a p e r ma hanche et sa main droite me pousser la t?te en avant. Il avait maintenant une parfaite vue sur mon cul.

_ Effectivement t’es bandante ! Mate moi ce cul, plus ouvert tu meurs !

Il retira le plug d’un coup et sans prévenir me le mit dans la bouche.

_ Tiens, ?a t’évitera de trop gueuler quand je vais te pilonner.

Et au même instant, je l’entendis ouvrir son pantalon, baisser son slip et approcher son sexe de mon trou. Je ne pouvais m?me pas le voir, sa main droite tenait toujours fermement ma t?te baissée, et mon cul était maintenu ouvert par ma position penchée. Soudain, il entra son sexe en moi. Je m’étranglai ! Le diamètre était bien supérieur ? celui de mon plug, et le seul lubrifiant que j’avais était la mouille que j’avais faite ? l’idée de me faire sauter. Putain, j’aurais d? mouiller plus, ce serveur allait me trouver trop sec et j’allais décevoir mon ma?tre. Le serveur en question s’arrêta, cracha sur son pénis toujours ? moitié enfoncé dans mon cul, et reprit ses mouvements encore plus fort.

_ Voilà, maintenant ?a passe mieux ! Tu les sens mes 22 centimètres ? Tu les sens bien sale pute ?

Je me retenais de crier.

_Ouiiii, ouii monsieuuur !!

D’un geste, le serveur poussa le plug 5 cm plus profond dans ma gorge.

_ Tant que t’arrives ? parler c’est que tu l’as pas assez profond !

Il me donna une v i o l ente claque sur la fesse gauche, j’adorais ?a. Je n’arrivais plus ? me contr?ler maintenant, je bougeais mon cul pour l’aider ? s’enfoncer plus en moi.

_ Oh merci monsieuuur !! J’aime ?aaa !!!

_ Prends la bien chienne ! T’es le meilleur cul que j’ai jamais baisé ! Putain t’es trop bonne ! Oui bouge toute seule, empale toi sur moi, prends ce que tu mérites pétasse !

Je n’en pouvais plus, c’était trop bon, je devenais hystérique. J’en voulais plus, encore plus !

_ S’il vous plait monsieur, je vous en prie, humiliez-moi !

Le serveur comprit ce que je voulais. Il poussa encore plus ma t?te vers le bas, je m’effondrais presque. J’avais maintenant le visage dans les chiottes. Ma gorge s’appuyait sur le rebord, ajoutant encore ? la jouissante sensation d’étouffement que m’imposait le plug. Le serveur ne devait voir que mes cheveux ? présent. J’étais vraiment un moins que rien, un objet qu’il utilisait sans aucun respect, un trou implorant pour qu’on le nique.

_ Je vais jouir pétasse !! Prends toi bien tout mon jus !!

Il accéléra encore la cadence, me battant de plus en plus fort. Ma t?te tapait contre toutes les parois, je sentais ses couilles frapper mon cul tellement il me pilonnait avec f o r c e .

_ Oui je vieeeeens !!!

D’un coup, il se crispa complètement, ses mouvements devinrent saccadés, et je sentis se déverser au fond de mon trou épilé des litres de sperme chaud. Les jets s’enchaînaient, et ?a ne semblait pas s’arrêter. Les couilles de mon serveur ne se vidaient pas, il m’en remettait encore plus dans la chatte. Enfin, dans une dernière crispation qui laissa ses marques d’ongles dans ma hanche gauche, je reçus la dernière goutte de mon baiseur.

Il se redressa, sortit de mon cul sans crier gare, tira ma tête trempée des chiottes et me fourra sa queue en bouche pour que je la nettoie. J’avais enfin l’honneur de voir ce sexe magnifique et énorme qui m’avait démonté l’anus et béni de sa semence.

_ T’es vraiment une bonne pute, merci pour ton cul.

_ C’est moi qui vous remercie monsieur.

_ Tu gardes mon jus au chaud ok, et tu sors avec ton plug dans la main. Attends deux secondes, faut que je pisse.

J’ouvris respectueusement la bouche, et je le vis fermer les yeux en soupirant. Son urine s’abattit sur mon menton, et je bougeai ma t?te pour en perdre le moins possible. Plus d’une minute trente plus tard, il secoua sa bite au-dessus de moi, et referma son pantalon, apr?s avoir remis sa chemise dedans

_ Tu me nettoies tout ?a avant de sortir et tu te s?ches avant de remettre tes fringues. Je kiffe ton strap, t’es vraiment ? dispo comme ?a.

Il sortit. Je nettoyai la pi?ce avec du papier toilette, m’aspergeai d’eau et me séchai tout le corps avant de sortir. Quand je m’assis en face de mon ma?tre et posai le plug sur la table, il sourit.

_ Alors, il t’a bien rempli ?

_ Oui Maître.

_ Très bien, fous tes doigts dans ton cul et étale toi un max de sperme sur le visage.

Le plus discrètement possible, je m’exécutai. Vu les litres que le serveur avait jouis, mon visage était bien poisseux quand ce fut fini.

_ Bien, conclut mon ma?tre. Maintenant tu vas me regarder manger mon dessert, toi t’as déjà eu le tien. Bon anniversaire ma pute.

Je souris. C’était le meilleur cadeau d’anniversaire que j’aie jamais reçu.

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